lundi, février 08, 2010

Six millions de Suisses emois et moi et Moix.

Ciel! Je suis tombé tout à fait pas hasard sur le coup de gueule de Yann Moix contre notre chère Suisse chérie en toutes, nos montagnes, nos montres, tout quoi, et même qu'il la traite de putain ce genre de femmes que Moix doit bien connaitre pour la reconnaitre par ici lourde de montagnes et de vallons escarpés, tout ça pour défendre Polanski qui ne doit pas en demander autant d'un écrivain que le critique du Nouvel obs traite de sous-Céline. Ce qui n'est pas gentil pour Louis-Ferdinand l'écrivain quant à l'homme qui semble s'y connaitre aussi en diablerie et autres bondieuseries... La Suisse ainsi manie le temps comme Satan dans l'enfer du temps. Même Heidegger n'y avait pas songé, Satan et le temps, sale temps.

Tandis que Mitterand le compare à Baudelaire qui a écrit des choses terribles sur la Belgique.

Quel couillon que Polanski! Acheter un chalet en enfer... Pour une saison en enfer... Ce devrait être lui le martyr! mais non, à la fin c'est ce petit écrivaillon à qua't sous le martyr et moi je déteste les martyrs. Viré de Facebook! Temps mieux. Et il parait que c'est le premier écrivain à l'être. Un martyr de moins donc, et pour une fois il est l'unique victime de sa connerie.

C'est pas grave de dire du mal d'un pays, tous les grands écrivains suisses et bien des étranger l'ont fait, et de la France et de l'Allemagne, l'Autriche... l'Amérique, la Russie, la Chine, bref tout ça c'est normal. Mais en dire juste pour vendre un bouquin que personne n'attend faut le faire.