dimanche, août 27, 2006

Croassez et multipliez.

L'autre jour je voyais et j'écoutais un enseignant palestinien de Gaza se pleindre comme tant d'autres fonctionnaires de n'avoir pas été payé depuis six mois. (Je rappelle tout de même qu'en 1991 aux states, 6 villes sur dix étaient en déficit et que plusieurs Etats n'étaient plus en mesure de payer leurs fonctionnaires) Il était entouré de flics en train de gueuler contre les murs d'une banque, de bousculer les employés et de menacer les boss d'un assaut radical. Ils avaient sans doute comme lui voté pour les fascistes du Hamas. Des fascistes parce qu'ils s'inspirent de la même stratégie. Faire en sort d'agraver les choses, favoriser la descente en enfer des gens puis distribuer un peu de fric envoyé par les saoudiens et quelques autres minables des pays arabes qui regardent la situation des Palestiniens sans se bouger le cul comme des danseuses du ventre. Ces minables sont à vomir, du reste c'est ce que je fais. Mais je vomi aussi cet enseignant qui croassait sur ses malheurs: pensez, ce mec-là n'avait que deux femmes et dix-sept enfants. Dans un camp de merdre où survivre seul est déjà une galère... C'est pas les vivres qu'il faut lui couper, c'est la queue!!!

Toute cette merde est une embrouille dans laquelle les vies humaines ne comptent pas. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur les accointances entre extrèmistes fascistes islamistes juifs et états-uniens. Au point que le débat est sanglant entre ceux qui pensent que c'est Israël qui conduit la politique des Etats-Unis au proche orient et les autres. Entre ceux qui exagèrent le rôle de l'Aipac et Noam Chomsky par exemple qui le minimise. L'Aipac c'est rien de moins que le puissant lobby sioniste américain. Confrontation entre l'impérialiste sioniste et l'impérialisme état-unien. Lorsque l'on met le nez dans cette histoire ça fait pas un pli que ça pue énorméement et qu'on fini par se dire que c'est Hitler qui a gagné la guerre.

Je ne suis pas objectif et je n'entends pas le devenir; la vie des gens n'est pas un phénomène qui puisse s'observer sous un microscope. La réalité dépend du point de vue où l'on se place. Mon point de vue est seulement humain et tout ce que je vois relativement à leurs actions est toujours humain. Aucun homme n'est inhumain, c'est-à-dire qu'il est un animal sociable et plus ou moins rationnel - plus moins que plus. Ainsi, maintenant je vais manger avant que le repas chaud que je me suis préparé ne refoidisse.

dimanche, août 20, 2006

Pas de remords.

C'était au début des années soixante-dix, je faisais un ixième séjour à Berlin-ouest avec mon amie Heike, une grande blonde magnifique qui bossait chez Pierre Balmain après avoir échappé de justesse aux vengeurs moudjiks et violeurs de l'armée rouge qui fondait sur Berlin. De Koenigsberg dans les bras des GI's elle avait suivit sa mère dans l'enfer. Pour ça qu'elle aimait tellement la vie et l'amour. Pompes divines!!! Nous, de Paris à Mandelieux puis Torremolinos et Berlin. Donc on était là, du bon côté du mur, mais moi je militait pour l'autre, le communisme et la stasi - un peu comme Céline qui avait embrassé le nazisme par haine des hommes, de la guerre et malheureusement des juifs. Bref, un après-midi d'automne, venteux et frisquet je me suis risqué de l'autre côté. A check-point Charlie j'ai changé le max de fric, 5 deutch-marks contre 5 marks DDR. Juste de quoi me payer un thé et une patisserie dans un the-room sinistre. J'allais tout géné dans mes atours de petit bourge parmi les travailleurs et la grisaille, dans mon futale bleu pattes def, mon par-dessus étroit et très minet... J'en menais pas large; et cela s'est encore agravé quand je me suis aperçu que j'étais suivi par un trio, deux mecs et et une nana. J'étais bien seul au mitan d'une place énorme et vide - peut-être Alexander-Platz - mai bordée par là d'un gros bâtiment style classique avec un escalier monumental et des colonnes doriques. J'ai grimpé, me suis planqué derrière l'une d'elles et allez savoir pourquoi, tandis qu'ils étaient à plus de cinquante mètres je les ai photographié en douce. J'étais parano, j'étais sûr qu'ils allaient me faire la peau.

Ils m'attendaient en bas du grand escalier, tout sourir, l'air vraiment sympa. Je me suis approché et j'ai dit bonjour, en allemand. Tout de suite ils sont entrés dans le vif du sujet. Ils voul
aient des deutch-marks, évidemment. Me les échanger contre les leurs. J'avais beau leur dire que j'avais en poche un papier qui stipulait que j'avais échangé seulement 5 marks ils ont balayé cet argument en me disant que ça posait pas de problèmes. Des camarades de l'Est je pouvais pas mettre leurs paroles en doute. J'ai dû changer une centaine de marks. On s'est quitté presque comme de vieux amis. En ville, quelques instants plus tard c'était un mec en bleu de travail qui m'avait pris en chasse. Il voulait la même chose. J'ai pas discuté, je lui ai refilé tout ce qui me restait.
Les vopos m'ont cuisiné plus de quatre heures pour savoir à qui j'ai changé mon blé. Les salauds devaient savoir - les quatres - que j'allais avoir des ennuis - bien que ce fut de bonne guerre - je m'en suis sorti en disant aux flics que j'avais photographié par hasard ceux qui m'avaient roulé. Ca a pas duré. Les vopos ont gardé mon blé, mon appareil photo... J'avais rien pigé jusqu'à ce qu'on m'explique que les gens qui cherchaient les bons marks c'était pas pour se payer des chaînes capitalistes, c'était juste en prévision d'un passage à l'Ouest. Aujourd'hui les experts se disputent sur le nombre de victimes tombées devant le mur. Finalement en trent ans il en est tombé dix fois moins que des mexicains à la frontière avec le paradis yankee.

vendredi, août 18, 2006

Les Américains et la lune.

Nous connaissons tous l'histoire. Le célèbre metteur en scène Stanley Kubrick fut chargé au début des années soixantes de tourner un film sur le débarquement us sur la lune au cas où celui-ci viendrait à rater. Les images étaient exactement identhiques à celles que le monde entier a pu voir sur la petite lucarne de merdre. Longtemps ont courru des bruits, des rumeurs sur le fait que les yankee n'ont en fait jamais mis les pieds sur la lune, que ce que nous avons vu ce n'était que le film de Kubrick. Du reste, ce dernier, après cet exploit fut si convaincu que les maîtres menteurs allaient le liquider qu'il s'est définitivement retirer sur une ils transformée en fort chabrole et qu'il ne se montra plus jamais en public. Ajoutons pour corser l'histoire que le guignol Armstrong qui a débiter sa sornette à propos d'un grand pas pour l'humanité que ce petit speech il l'avait emprunter... voleur et raciste, et que ce héros de mes deux fut, au Canada o!u il se pavanait, giflé par un jeune garçon à cause de ses idées de merde. Je le remercie ici.
Mais ce qui vient conforter ceux qui pensent que toute cette histoire c'est comme qui dirait de la roupie de sansonnets, du bidon, c'est que la NASA vient d'avouer avoir égarer les 2000 boîtes pleines de vidéos tournées à l'occasion de cet exploit. Il faut dire que ces Américains ont toujours été la champions du monde por faire disparaître les preuves de leurs méfaits et aussi champions pour créer des preuves contre leurs adversaires. Escobar, grand trafiquant de dope, agent de la CIA. Ben Laden, le terroriste, agnt de la CIA. Les Talibans, créations des Américains pour lutter contre les soviétiques, le Hamas, création des Américain pour lutter contre le FPLP. Quand Dos Pasos dit que le nazisme est né aux USA... per aspera ad astra.

mercredi, août 16, 2006

Guerre froide.

J'ai vècu les cinquantes premières années de la guerre froide, une époque où les bourges et les capitalistes faisaient dans leur froc du matin au soir en attendant la déferlante des rouges sur le monde soi-disant libre. Et j'adorais ça. Trompés par la propagande débile des médias à la botte des va-en-guerre du Washington qui avaient besoin de fric pour la course aux armements. Après les Chinois à Paris de Céline on en était aux Rouges à Paris de Nostradamus. De Gaulle à Moscou venu faire un cadeau aux cacochines du kremlin - une usine Renault - tomba des nues quand ceux-ci lui apprirent que ça faisait des années que la marque était installée en URSS. Schizophrénie de l'époque - tandis que l'administration US stigmatisait l'empire du mal sur tous les modes - en particulier les radios La voix de l'Amérique, Free Europe etc., pour du fric on leur vendait des millions de tonnes de blé pour se mettre dans la poche aussi les pauvres cultivateurs yankees. C'était vraiment le bon temps que cette équilibre de la terreur... tout le monde avait les foies et la trouille ça poussait à s'amuser comme si l'apocalypse était pour demain. Un bon remède contre la vanité des imbéciles et des salauds.
Soit! Aujourd'hui les bourges et les capitalos fasciste se vengent d'avoir eu les chocottes durant soixantes ans. Ils nous les font payer au centuple... ils lessivent à grandes eaux de boudin, installant comme je l'avais écrit il y a plus de trente ans les goulags dans nos belles banlieues. Je me répète, soit, mais c'est un fait, la fin du communisme-despotique asiatique russe c'est le triomphe des mafias lesquelles comme tout le monde le sait étaient dejà des exemples de procédures pour les sociétés capitalistes et non le contraire. C'était la fin des lucioles. Le plus beau modèle européen fut celui de l'Ubu Berlusconi, transposition subtile du bushisme texan élevé sur les fonds baptismaux par le "Démocrate" L. B. Johnson l'instigateur de l'assassinat de Kennedy. Une guerre des clans mafieux à la dimension us. Des ancètres Kennedy à ceux des Bush il n'y a que connivences avec les nazis et des milliers de criminels nazis furent protégés et accueillis aux USA grâce à l'organisation mafieuse de J. E. Hoover, pédé toxicomanne et maître chanteur et fondateur du FBI qui extermina les frères de Soledad et les militants Noirs des Droits civiques. C'était de la politique ce n'est plus que du business.

Et le même business des voyous ça continue de plus belle aujourd'hui avec un ennemi idèologique cent fois plus terrible que les soviets. Tous nos capitalistes s'en vont désormais lécher le cul des chinois. Ils achètent de tout, même les organes prélevés sur les condamnés à mort. Evidemment certains de peuvent s'empécher de rire mais qu'importe! De tout. Du fric à faire. Voltaire disait: si vous voyez un bamquer sauter par la fenêtre, sautez derrière lui, il y a sûrement de l'argent à gagner. On a jeté Marx aux oubliettes parce qu'il prétendait que le fondement de tout c'était l'économie... Doit bien se marrer le bonhomme. Et ceux qui font le plus rigoler; les moralistes. Les culs bénis, les fous et les tarés de dieu, d'allah ou d'javéh qui vous disent que tout ce qui arrive dépend de leur volonté. Les Chinois n'ont pas de dieu, juste la volonté farouche de tendre aux rapaces occidentaux une belle corde mad in china avec laquelle ils seront un jour pendu bien plus radicalement qu'ils sont pendus aujourd'hui aux cours des bourses asiatiques. Certes, les Chinois non plus que les soviétiques ne sont marxistes, la seule référence historique qui ne leur conviendra jamais renvoie au despotisme asiatique. Mais voilà, idéologiquement ces termes ne sont pas porteurs dans les minces esprits occidentaux.

dimanche, août 13, 2006

D'un primate l'autre.

Bientôt quarante ans que nous savons ce qui nous rapproche le plus des chimpanzés, les uns et les autres nous nous faisons la guerre, nous nous entretuons, chassons, bouffons de la chair et assassinons des petits enfants, dans des sociétés patriarcales. Tandis que les bonobos, autres primates, sont pacifiques, sexuellement actifs et aussi parfois violents, mais plus attentifs aux autres que les chimpazés et ils vivent dans une société matriarcale. Les religions ont probablement été inventées par les chimpanzés. Vu que toutes les sociétés humaines ont des fondements religieux et que les religions sont la sauvegarde des traditions animales. C'est dire qu'on est encore loin des hommes et que, plus les religions prennent de l'importance et plus nous demeurerons des assassins, des assoifés de sang; sutout celui des autres, vu que le nôtre nous fait plutôt défaillir.
En nous le chimpanzé a règlé son compte au bonobo.

Ainsi, je viens d'apprendre que l'un des membres fondateurs du GIA en Algérie avait fait assassiner des centaines de nouveaux-nés dans la banlieue d'Alger au mitan des années 80 rien que pour les envoyer au paradis avant qu'ils n'aient pu être corrompus.