mardi, décembre 16, 2008

Goulag.

C'est la fin du capitalisme quoi qu'en pensent certains qui le pensent toujours indépassable. Mais il n'a pas besoin d'être dépassé, ni même surmonter. Le capitalisme se détruira tout seul vu que la majorité des gens vont manquer d'argent pour acheter les marchandises qu'il faisait produire par les esclaves modernes.

Mais le véritable moteur de sa destruction sera la psychologie de masse et en particulier le ressentiment et la vengeance. Certes, malheureusement on ne pendra pas le dernier capitaliste avec la corde qu'il faisait fabriquer. Il sera pendu au cou de
l'Etat avec le peuple accroché à ses pieds. Ou bien, si tout se passe bien, il sera la cible d'un psychopathe bien inspiré. Pas le genre de trou du cul de kurde, en Suisse depuis des lustres, toujours entretenu aux frais du peuple, l'aide sociale, qui ne parle que le turc, qui a exploité sa jeune nièce à qui il volait le salaire et qui, pour sauver l'honneur de sa famille - quelle crève! - a posé un flingue sur la tempe du fiancé de sa nièce, un flingue heureusement pourri qui a fait clic. Une ordure de merde avec dans sa tête fêlée les vieilles traditions kurdes toujours en vigueur, l'assassinat. Cela me fait gerber de penser que nous sommes sommés par les défenseurs des droits de l' "HOMME" et les yankees d'accueillir ce genre de sinistres individus. Moi qui ai toujours pris le parti des Kurdes dans leur guerre contre l'armée turque... Je retourne ma veste. J'ai vu avec un sentiment incommensurable l'assassinat d'une jeune fille kurde de 18 qui avait eu le malheur de tomber amoureuse, au kurdistan irakien.

Ils sont des milliers, pourris par les traditions et la religion, parmi nous, qui rêvent de meurtres et de vengeances... Mais nous allons tout de même construire partout des mosquées et des minarets... pour des attardés qui, chez eux, ne supportent ni les chrétiens, ni les églises... Et même si je n'ai pas la moindre sympathie pour le christianisme et autres hypocrites sanctifiés qui se font assassiner par centaines dans l'Asie musulmane, je soutiens qu'elle est aujourd'hui la moins criminelle des idéologie religieuse, pas comme celle de ces juifs nazis qui sont sur le point de prendre le pouvoir en Israël... Bande de criminels qui n'hésitent pas à offrir cinquante milles dollars à qui tuera un militant du mouvement La Paix Maintenant, dont le contenu cérébral est alimenté par les délires gravés dans leurs livres saints, leurs manuels du crime, sur lesquels je me plais à chier et qui accompagne leur dégénérescence... je dois me réjouir de la guerre civile qui se dessine en Israël, qui marquera je l'espère la fin d'un Etat fondé sur le raciste et la religion
.

Ce matin j'en ai ras l'bol de toute la merde que je lis dans la presse. Oh, je ne suis accablé! Je me réjouirais plutôt! Voir s'écrouler cet édifice formidable du monde moderne (lequel n'est pas pire que l'autre, l'ancien, fossilisé dans les institutions) construit sur des masses de cadavres, d'hommes de femmes et d'enfants, rien ne saurait me rendre plus joyeux! Tabula rasa! Et à chacun selon ses capacités... ses besoins. C'est pas un rêve d'apocalypse... Bien que nous soyons en pleines révélations des moyens mis en oeuvre par une bande de criminels qui ont investi les banques et autres pompes à phinances. Marx et d'autres nous ont mis au parfum depuis belle lurette. A la lutte des classes viendra la guerre des classes! Et alors?

Dans ma petite tête, faut être honnête, je n'ai pas plus confiance dans les hommes qui constituent les classes laborieuse, qu'en ceux qui constituent celle des voleurs et des exploiteurs; que l'on soit un homme de gauche ou de droite on reste un homme, et l'homme c'est le problème et la solution et c'est là que le bas blesse. Les banquiers sont contrôlés par les banquiers comme les policiers par des policiers et c'est partout ainsi, les religieux par des religieux tous captifs de leur minuscule univers d'activité. Et d'aucun pensent que la morale, une injection de moral pourrait changer quoi que ce soit. Quelle foutaise! Moraliser! C'est là-dessus que tout le présent est fondé, la morale bourgeoise et chrétienne qui a fait du travail une valeur - celle du sacrifice pour les uns et du profit pour les autres. Et quand ce ne sont pas les bourgeois qui sacrifient les travailleurs ce sont les travailleurs qui se sacrifient. On est bien ici dans le sacré non! Et toute morale commence toujours par un sacrifice. Mais comme dieu n'existe pas ça fait pas l'ombre d'un pli que tout se joue dans le crâne des hommes comme ce qui se joue dans le mien sans savoir exactement ce qui s'y passe tandis que j'écris.

En soviétie il y avait les purges régulière qui éliminait les individus volontairement du plus haut de l'échelle sociale au plus bas, c'était la sélection volontaire. Chez nous cette sélection naturelle s'opère à la faveur des crises cyclique du système qui ne touchent que le bas de l'échelle, jusqu'à aujourd'hui, même si de très riches ont laissé des plumes dans le crash... Et c'est bien fait pour leur gueules, ce sont de nouveau les plus démunis qui vont finir en engrais. Il y a trente ans je prédisais des goulags partout dans le monde bien nous y sommes! La terre un goulag pour six milliards d'êtres humains.

Bon, des choses plus importantes m'appellent.

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