Ça va sentir très mauvais à Genève autour du Palais des Nations ; Ahmadinedjad et la clique de la OCI - pourquoi n'ont-ils pas invité cette petite fille de 8 ans qu'en Arabie Saoudite un juge vient de livrer à un mec de 58 ans? - vont faire assauts de rhétorique hitlérienne comme je l'ai vue entendu hier sur une chaîne de télé. A en croire le chef de l'Iran les juifs tiennent toutes les banques, tous les moyens d'information, tout ce qui compte dans le monde. Et pour gommer toute référence à la forme particulière de racisme qu'est l'antisémitisme et pour en vider le sens commun ils entendent sous le prétexte fallacieux que les Arabes constituent la majorité des sémites n'ont pas hésité à proposer que l'on combatte les pratique sionistes contre le sémitisme.
Étant donné que nous savons depuis belle lurette que les races n'existent pas en tout cas en ce qui concerne le genre humain, élaborer des lois antiracistes est une aberration de plus à toutes celles induites par le politiquement correct. Comme cette aberration qui assimile une doctrine, une idéologie, quelle soit politique ou religieuse à une race qui différencie les hommes d'un point de vue biologique. Comme si qui que ce soit avait jamais associé le libéralisme, le totalitarisme, le positivisme ou le pragmatisme à des des races. Toute cela me parait témoigner d'une dégénérescence de la pensée, d'une pensée exténuée. On se croirait revenu au temps de Gobineau et même de Montesquieu. Tenter comme le font certaines ONG extrémistes déjà sur le pied de guerre en Australie, les islamistes et en particulier l'OCI de criminaliser toute expression critique des idéologies dominantes -, des idéologies religieuses et des conséquences désastreuses quelles induisent sur les libertés des gens n'est rien d'autre que le retour inouï aux dispositifs criminels déjà élaborés par les nazis et staliniens. Si nous laissons faire les psychopathes de tout poil qui entendent régimenter et phagocyter la liberté d'expression, Genève sera la répétition du Münich d'Adolf. Je crains alors que le choc des civilisations, qui n'était de loin pas le souhait mais la crainte de Huntington ne l'emporte si la peur l'emporte sur la raison, d'autant que la situation économique qui se détériore de jour en jour favorise précisément ce sentiment d'insécurité et de vengeance qui rôde désormais avec son funeste cortège d'idéalisme apocalyptique. Mais ce ne serait pas la première fois que les élites qui gouvernent ne trahissent les peuples pour protéger leurs situations, leurs privilèges, leurs pouvoirs. Même dans nos démocraties chancelantes et pour cause, les juifs et leur Etat juif sont en train de redevenir les boucs émissaires de tous les naufrages parce que le religieux se ressource toujours aux mêmes sources nauséabondes propagées durant des siècles par des esprits malades qui n'ont jamais rien fait d'autre que de projeter sur le monde tous les vices et toutes les pulsions délétères dont ils étaient captifs eux-mêmes. Nous sommes en train de revenir à l'âge de fer où le père doit tuer son fils pour satisfaire une pulsion de mort, tuer ou vendre ses enfants pour restaurer le respect des autres.
Étant donné que nous savons depuis belle lurette que les races n'existent pas en tout cas en ce qui concerne le genre humain, élaborer des lois antiracistes est une aberration de plus à toutes celles induites par le politiquement correct. Comme cette aberration qui assimile une doctrine, une idéologie, quelle soit politique ou religieuse à une race qui différencie les hommes d'un point de vue biologique. Comme si qui que ce soit avait jamais associé le libéralisme, le totalitarisme, le positivisme ou le pragmatisme à des des races. Toute cela me parait témoigner d'une dégénérescence de la pensée, d'une pensée exténuée. On se croirait revenu au temps de Gobineau et même de Montesquieu. Tenter comme le font certaines ONG extrémistes déjà sur le pied de guerre en Australie, les islamistes et en particulier l'OCI de criminaliser toute expression critique des idéologies dominantes -, des idéologies religieuses et des conséquences désastreuses quelles induisent sur les libertés des gens n'est rien d'autre que le retour inouï aux dispositifs criminels déjà élaborés par les nazis et staliniens. Si nous laissons faire les psychopathes de tout poil qui entendent régimenter et phagocyter la liberté d'expression, Genève sera la répétition du Münich d'Adolf. Je crains alors que le choc des civilisations, qui n'était de loin pas le souhait mais la crainte de Huntington ne l'emporte si la peur l'emporte sur la raison, d'autant que la situation économique qui se détériore de jour en jour favorise précisément ce sentiment d'insécurité et de vengeance qui rôde désormais avec son funeste cortège d'idéalisme apocalyptique. Mais ce ne serait pas la première fois que les élites qui gouvernent ne trahissent les peuples pour protéger leurs situations, leurs privilèges, leurs pouvoirs. Même dans nos démocraties chancelantes et pour cause, les juifs et leur Etat juif sont en train de redevenir les boucs émissaires de tous les naufrages parce que le religieux se ressource toujours aux mêmes sources nauséabondes propagées durant des siècles par des esprits malades qui n'ont jamais rien fait d'autre que de projeter sur le monde tous les vices et toutes les pulsions délétères dont ils étaient captifs eux-mêmes. Nous sommes en train de revenir à l'âge de fer où le père doit tuer son fils pour satisfaire une pulsion de mort, tuer ou vendre ses enfants pour restaurer le respect des autres.
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