lundi, août 04, 2008

Bis repetitas.

J’ajoute ici le nom de l’une de ces femmes courageuses,

MALALAÏ JOYA,

afghane.


Comme tant de ses compagnes de combat elle est menacée de mort, de viol, de kidnapping ; déjà une bombe attendait son passage lors d’un meeting, déjà, alors qu’elle avait été élue au parlement de Kaboul, les cochons, au terme d’une procédure maffieuse, sont parvenus à l’exclure, parce que les porcs aiment la corruption, le viol, l’assassinat des femmes et les sinistres saigneurs de la guerre. Elle ne peut plus désormais dormir deux fois au même endroit.

Evidemment ces islamistes dégénérés digèrent assez mal les propos qu’elle tient à leur endroit comme par exemple lorsqu’elle parle des leaders afghans qui ne sont ni plus ni moins qu’une alliance de criminels corrompus qui méprisent les femmes et ne songent qu’à s’enrichir. Ou bien encore quand elle parle de la terreur que les moudjahidin ont fait régner à Kaboul.

« C’étaient des criminels et des barbares assoiffés de violence et de pouvoir, et les souvenirs des femmes du camp qui avaient perdu maris et enfants ou avaient été torturée et violées », ou encore lorsqu’elle parle des petites filles qui sont, dans les régions contrôlées par les talibans naturellement, attaquées ou kidnappées sur le chemin de l'école... Bon, elles ne sont que deux sur dix à pouvoir la fréquenter l'école, et encore! Lorsque les gros connards de merde ne leur ont pas mis le feu! … Parce que des filles puis des femmes qui savent lire et écrire ça les emmerde ces résidus de fausse couche. Et toutes les vingt-huit minutes une femme meurt en couche… Espérance de vie 44 ans, sauf lorsqu’elles préfèrent se tuer en se mettant le feu.



44 ans c’est sans doute moins que l’âge de ces 23 femmes déchiquetées par une bombe dans une rue de Mogadiscio, une rue qu’elles avaient décidé de nettoyer, nettoyées par les malades islamistes, qui n'ont jamais rien compris à rien même pas au coran. Rien. Ce ne sont même pas des chiens.
Plus tard un soir je regardais un très bon doc à la télé sur les musées secrets, sur la censure passée et présente exercée sur les œuvres d’art et en particulier sur l’art érotique et la terreur que suscite le sexe. J’y ai appris comment, tout dernièrement, dans un pays démocratique et tolérant comme l’Angleterre, Ces détraqués d'islamistes étaient parvenus à faire retirer des œuvres qui dérangeaient leurs cervelles dérangées lors d’une exposition à la White Chapelle Galerie de Londres. Cette racaille fait peser partout une chape de terreur qui n’a rien à envier ni aux méthodes nazies ni à celles des staliniens. Et les élites comme d’habitude, pour préserver leur petite tranquillité, s’écrasent.


Elles s'écrasent comme à Genève où pour ne pas les déranger dans leur foutu ramadan elles ont décider de changer les dates des fêtes de la ville... Et pour conserver sur les bords du lac les chèques en blanc leur smala et leurs foutus pétro-dollars. A vomir.



Ces élites stupides qui n’ont pas encore compris que s’ils ne désirent pas provoquer ce fameux choc des civilisations, les islamistes eux le désire comme un désir de mort, comme une pulsion rien d’autre que bestiale. Kidnapper, violer, égorger, voilà bien les valeurs fondamentales des fondamentalistes. Aussi. il est vitale de « continuer à lutter contre les criminels qui s’étaient peut-être coup la barbe mais demeuraient les mêmes » voilà le combat des femmes, et des hommes qui n’ont pas peur des femmes, qui croient en elles plus qu’en un dieu quelconque et de toute façon inexistant.

Mais un dieu qui toujours porte la mort.


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