Sibel Edmonds héroïne de la bientôt défunte démocratie américaine continue de se battre contre l’administration Bush et le FBI du feu drogué pédé et maître chanteur Hoover, cette organisation criminelle dont maintes séries télé tentent de redorer le blason merdique et sanglant décrit déjà longtemps par Angela Davis. Virée de son poste de traductrice parce qu’elle avait alerté ses supérieurs sur le fait que bien avant les attentas du 11/9 et grâce à la traduction de conversations téléphoniques on savait depuis longtemps en haut lieu qu’ils allaient avoir lieu. Que l’une de ses collègues, Mme Dickerson, trafiquait les traductions. Que cette nana n’était autre que la femme du Major Douglas D. Dickerson, membre de l’American Turkish Concil, une clique de trafiquants d’armes et de technologie nucléaire composée des chefs du système militaro-industriel américain, de trafiquants et de marchands d’armes et de drogue turcs et d’israéliens, grâce auxquels l’Indonésie, le Pakistan purent développer leurs armes nucléaires, sans oublier que toutes ces informations ont été délibérément caviardées dans le fumeux et ridicule rapport de la commission d’enquête sur les attentats du 11/9. Le major tenta d’ailleurs de recruter Sibel pour le compte de l’ATC afin de participer à la destruction/ détournement des preuves et de la corrompre. Aujourd’hui et bien qu’elle ait perdu tous les procès qu’elle avait engagé contre les menteurs et les salauds du département d’Etat, du FBI etc., des dizaines d’agents de ce même FBI, de la CIA etc., ont adhéré à la National Security Whistleblowers Coalition comme Robert Wright, un agent du FBI dont les investigations concernant le 11 septembre, dans un manuscrit de 500 pages dont le FBI a empêché la publication. Bon, tout le monde peut accéder aux infos sur le net où voir le doc magnifique qui raconte cette histoire de l’Amérique d’Ubush roi.
Tout le monde peut se faire une opinion sur la manipulation dont nous sommes victimes à l’insu de notre plein gré. Et tout un chacun peut mesurer la naïveté où la bêtise ou encore la saloperie de ceux qui prennent tous les antiaméricains primaires pour de sympathisants islamistes. Cette histoire comme tant d’autres nous permet de mesure le grand écart entre le patriotisme d’une Sibel Edmonds et celui des fascistes de l’administration Ubushienne, des néoconservateurs etc. Cette clique de malades et d’agités du bocal qui cachent sous le secret d’Etat l’état lamentable d’une démocratie pourrie et corrompue par le fric et la volonté de puissance et qui a encore le toupet de faire au monde des leçons de morale. Nous pouvons aussi nous faire du souci pour une Sibel courageuse qui doit se trouver en permanence dans la mire des tueurs de toutes les officines tueuses officielles et officieuses de l’Amérique, une Amérique qui n’a depuis l’ascension de la dynastie Ubush plus rien à envier à celles de l’Empire du Mal.
Soit, je sais ce que les américanophiles qui délirent sur la démocratie, qui hallucinent sur la liberté d'expression en temps de guerre pourraient nous dire: Sibel Edmonds est toujours vivante.
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